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 Au fil des mots, au bord du vide ... [Pv Ezio]

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Ezio Sanghin,
Ezio Sanghin

 
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Date d'inscription : 08/01/2012
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Carnet de Voyage
Race: Semis et Hybrides
Classe: Traqueur
En général: Ange-Naleï
MessageSujet: Re: Au fil des mots, au bord du vide ... [Pv Ezio]   Au fil des mots, au bord du vide ... [Pv Ezio] - Page 2 Icon_minitimeJeu 26 Déc - 18:05           
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Après quelque minutes, Ezio pus entendre la voix de la reine lui répondre. Elle lui expliqua comment elle avait rencontré le jeune Kevin et la raison de leurs actuel relation. Elle se tu quelques instants avant de reprendre la parole pour faire un bilan globale de leurs état. Elle avait raison, tout deux n'irai pas très loin. Elle demanda alors si le semi avait une aiguille ou un quelconque objet semblable ainsi qu'un simili de fil de façon a refermer les plaies. Il enleva son bras droit qui enlacer la reine et laissa son bras gauche de facon a la garder contre lui. Il fouilla du mieux qu'il pu ses poches et fini par trouver une petite bobine de fil. Cela ne suffirai pas a refermer toutes les plaie mais surement les plus importantes.Quand a l'aiguilles, elle avait du se perdre dans la bataille car il n'arrivait pas à la retrouver. Ezio chercha donc autre chose qui pourrai faire l'affaire. Ses yeux se posèrent alors sur la chevelure brune elle il y aperçu une ou deux petites pinces afin de garder ses cheveux en place. Après un bref mot d'excuse il en enleva une délicatement et l'examina. Cela suffirai certainement. 
Le problème c'est que dans son état actuel, il était impossible pour l'hybride d'effectuer ce genre de soins sur Alidane ou lui même. Il tendis donc le bras et déposa les deux objet dans la mains de la reine. C'est a se moment la que la jeune femme parcouru le visage du semi de sa mains,surement pour examiné ces plaie. Elle était très douce, et ce semblant d’élan d'affection fit frissonner Ezio. Elle du s'en rendre compte car elle retira net sa main et repris la parole. Il s'empressa de répondre a son tour.


Je suis entièrement d'accord, je ne suis de toute manière pas en état de prendre quelque décision que ce sois. D'ailleurs, si vous ni voyez aucune objection je vais vous laisser utiliser ceci affin de vous recoudre, mes mains sont encore trop engourdies pour que je puisse faire le nécessaire.Et ne vous en faites pas, je ne vous lâcherai pas.



Il ponctua sa dernière phrase d'un sourire rassurant et replaça sont bras droit autour d'elle.Elle ne l'avait pas lâché des yeux depuis déjà plusieurs minutes et Ezio ne pouvais détacher son regard du sien. Malgré tout ce qui venait d'arrivait, elle était toujours aussi...oui il pouvait le dire, attirante. Le semi chassa ces pensées et tenta de bouger quelque peu les jambes mais il n'y arriva pas. Il les senti trop lourde et devait attendre encore un peu avait de faire quelque mouvement que ce sois. C’était a Alidane maintenant d'agir, lui était totalement hors service.
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Alidane Dextrae,
Alidane Dextrae

 
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Carnet de Voyage
Race: Humains
Classe: Mage
En général: ~Chef des Gardiens, reine de Kerdéreth~
MessageSujet: Re: Au fil des mots, au bord du vide ... [Pv Ezio]   Au fil des mots, au bord du vide ... [Pv Ezio] - Page 2 Icon_minitimeMer 22 Jan - 23:08           
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Au village, c’était la panique. La nouvelle se répandit rapidement. La reine était en danger. Kévin, de son regard d’enfant, voyait ces sujets vociférer et aller et venir autour de lui, de manière confuse. Il ne savait trop, d’après le ton de leurs voix, s’ils craignaient réellement pour la vie de leur souveraine, ou plutôt pour la leur, si la reine revenait et se rendait compte que personne n’était venu à son secours. Il se mit à marcher dans l’attente, fouettant les brins d’herbe de ses luxueuses chaussures à présent hors d’état, et couvertes de boue. Une tignasse blonde un peu plus loin attira son attention. La fille du forgeron l’observait depuis le seuil de la forge. Depuis qu’elle avait appris qu’il faisait partie de la cour, elle s’était brusquement tue et n’osait plus s’approcher. Elle craignait peut-être sa réaction, le châtiment qu’elle encourait si le fait qu’on avait manqué de respect à son page arrivait aux oreilles d’Alidane Dextrae. Celui lui fit beaucoup de peine.
L’attente de Kévin ne fut pas vaine. Un cheval à la robe ténébreuse finit par arriver à sa hauteur. Sur le destrier seigneurial, il ne tarda pas à reconnaître celui qu’il avait fait quérir dans toute la ville.

Alors petit page, tu t’es perdu ?
Kévin avait appris une chose à son arrivée au château : tout le monde le détesterait. Les seigneurs de la reine des ténèbres cherchaient à s’approprier son trône par tous les moyens, et si cela passait par une visite au château à des heures tardives, ça ne posait évidemment aucun problème. Ainsi, tout le monde avait vu d’un mauvais œil l’arrivée d’un page au château. Cela ne pouvait signifier pour eux qu’une chose : une succession.
Le jeune page fronça les sourcils et masqua d’une main le soleil qui lui arrivait droit dans les yeux, lorsqu’il levait la tête pour observer le seigneur, qui ne prit pas la peine de descendre de son cheval. Tout autour, les chevaux commençaient à s’amasser, et les hommes d’arme à se rassembler.

Seigneur Javérens. Nous devons trouver la reine coûte que coûte.
Foutaises ! JE dois aller chercher la sa Majesté Alidane Dextrae. Toi moucheron, restes ici !
Le seigneur, ricanant déjà, échangea quelques mots avec sa garde personnelle, et se prépara à talonner son cheval.
Monseigneur ?
Oui, petit page ?,intérogea de son air méprisant l’homme de cour qui s’était arrêté.
Vous ne savez pas où est la reine.
Le fougueux sur son cheval grogna lui adressa une grimace méprisante.
Dans ce cas montres-moi petit page, et je t’égorgerai dans la forêt en prétextant l’arrivée subite d’un brigand rescapé.
Il lui tendit une main que Kévin observa d’abord sans comprendre. Un vide se creusait dans sa poitrine.
Je mourrais pour la reine.
Il prit la main tendue et le seigneur le fit monter sur son cheval avant de le lancer au galop.

Que serez-vous en état de faire une fois que j’aurais fini de vous recoudre ? Ezio je regrette de vous avoir impliqué dans cette affaire, bien que cela doit vous paraître absurde de ma part. Ne bougez pas je vous prie, ou la cicatrice risque d’être encore moins jolie qu’elle ne le sera dans les conditions présentes. Vivez-vous loin d’ici, Ezio ? Il n’est pas convenable que vous rentriez seul dans cet état. Je pourrais vous faire raccompagner par une escorte. Vos confrères les assassins vont vous en vouloir après ce que vous avez fait. Il ne faudrait pas que cet incident retombe sur vous. Après tout ce n’est pas votre faute. Vous devriez recevoir une récompense du palais d’ailleurs, pour avoir servi honorablement et avec bravoure la reine Dextrae. En voudriez-vous ? Certes c’est bien peu de chose une médaille, de l’argent, rien que vous ne nécessitiez, je pense. Mais j’ai toujours cru en l’honneur. Vous devez être honoré pour votre service. Que diriez-vous d’un titre ? Enfin qu’en feriez-vous ? C’est tellement désuet. Ce qu’il vous faudrait, c’est un service. Un service, contre un service. Maintenant fermez les yeux.
La reine avait achevé son travail. La couture n’était pas très réussie, mais elle tiendrait pendant un temps suffisant. Elle s’assura que le semi fermait bien les yeux et se concentra, elle utilisa le peu de pouvoir qu’il restait à sa disposition pour améliorer l’état des plaies de l’assassin, et surtout, effacer celle qu’il avait sur le visage. Elle fit semblant de recoudre cette plaie aussi, mais il n’en était rien.
Une fois le travail effectué, elle était exténuée, sans même assez d’énergie pour se recoudre elle-même, ce qu’elle n’avait pas anticipé. Elle recommença à divaguer. Un court instant, le regard d’Ezio changea, son apparence se floua, comme le décor autour. Il prit les traits de son père, et la reine se rendit compte que sa tête lui tournait. Cette fois, elle ne pourrait plus utiliser ses pouvoirs avant un bon moment. Ce qui signifiait garder son vrai visage, et une suspension des exécutions magiques. Sur sa figure, la peau continuait de changer d’apparence. C’était peu de choses, un peu plus pâle à cause de la fatigue, la peau un peu moins ferme, un ou deux cheveux blancs.
Alidane se fit tout de même une contenance, ou l’assassin s’empresserait de la sermonner sur l’utilisation de son don.

Vous pouvez les rouvrir.
La souveraine se détourna un peu, pour éloigner les soupçons qui ne tarderaient pas d’arriver, et tenta de jauger les forces physiques qui lui restaient.
Nous serons deux à devoir rester cloués au sol. Aucun de nous deux n’est en état de se relever pour l’instant. Vous êtes trop épuisé, et pour ma part, je ne peux même pas me recoudre. Cela me demanderait trop de concentration.
Alidane se ménagea quelques instants de repos durant lesquels elle se retint de parler. Les yeux fixés sur la cime des arbres, elle se rendit compte combien sa personne était petite, et son règne illusoire. Comme tout, ces derniers jours semblait vouloir le lui montrer. C’était le destin.
Ce ne fut que de nombreuses minutes plus tard, dans un état second, qu’elle perçut un bruit lointain. Si Ezio lui avait parlé, elle n’était pas certaine de l’avoir entendu.

Vous entendez ? Ce sont des chevaux !
Alidane se redressa, et se rendant compte que le vertige l’avait quittée, elle explora ses forces. Elle était faible, c’était un fait. Cependant, Ezio semblait encore plus mal en point, malgré les soins qu’elle lui avait prodigués à son insu. Un choix s’imposait à présent sur la conduite à suivre.
Ezio, ne bougez pas. Je vais ramener ces cavaliers dans notre direction. Ils ne peuvent être que nos alliés, c’est impossible que des assassins aient rappliqué aussi rapidement. Je vais y aller pour qu’ils sachent que vous êtes avec moi.
Elle se leva alors, trop vite car sa tête lui tourna. Mais elle se remit assez pour parvenir à avancer tout droit et à héler les chevaux. Elle les appela quelques secondes durant pendant lesquelles elle sentit le vertige continuer à monter. Lorsqu’enfin les cavaliers entrèrent dans son champ de vision, elle tombait de fatigue et s’assit contre un tronc. Le seigneur Javérens était en tête du convoi, et devant lui, sur son cheval, se tenait Kévin. La souveraine se sentit rassurée de le trouver ainsi en sécurité. Elle soupira de soulagement et attendit que les chevaux arrivent à sa hauteur. Son jeune page descendit immédiatement et se précipita à ses pieds.
Ma reine j’ai eu si peur ! Croyez-moi j’ai fait aussi vite que j’ai pu. Pardonnez-moi d’avoir pris autant de temps pour vous retrouver.
Alidane lui adressa le regard calme, protocolaire, mais empreint de tendresse, qu’elle lui réservait.
Ne t’en fais pas Kévin, je sais que tu as fait tout ce que tu as pu. Aidez-moi à me relever, nous avons quelqu’un à aller chercher avant de partir.
Je m’occupe de la reine. Je vais vous installer sur un cheval votre Majestée, ajouta-t-il à son adresse.
La reine se laissa faire et le seigneur la souleva pour la monter à cheval. Il ne manqua pas de remarquer son état et ragea intérieurement. Une fois qu’elle fut bien en place, et que tout le monde eut retrouvé sa monture, ils se mirent de nouveau en route entre les arbres pour retrouver, à quelques pas de là, Ezio.

Aidez-le ! Et qu’on retourne à la lisière de ces bois !
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