"Vous entendez votre ventre crier famine. Vous avez faim et vous savez ce qu'il faut faire pour y remédier. Vous ne savez pas si c'est une bonne idée, mais dans votre état, c'est un peu vote dernier soucis. Vous décidez alors de vous diriger vers la cuisine pour aller chercher voter nourriture. Devant la porte, vous hésitez avant de vous convaincre que c'est la bonne solution. Vous l'ouvrez et, par un incroyable miracle, vous voyez que la salle est vide. Personne ne pourra vous faire de mal, d'après vous. Alors, ne pensant qu'à vote faim, vous entrez et regardez l'endroit des yeux. Vous commencez à être dégoûté, comprenant qu'avant de partir, les derniers survivants ont prit toutes les ressources qui vous était nécessaire. Ayant complètement perdu votre temps, vous décidez de faire marche arrière, mais vos oreilles vous avertissent d'un bruit. Les porte d'entrée se sont brisé. Malheureusement, vous ne pouvez voir ce qui a causé la casse. Coincé dans la cuisine, vous fouillez les placards en vain. Essayant de chercher quelque objet que ce soit, utile, par chance vous apercevez un couteau de cuisine. Vous hésitez pourtant à le prendre. Est-ce vraiment une bonne idée ? Vous jetez un dernier coup d'oeil derrière vous pour vous assurez de ne pas être suivit puis, sans réfléchir, vous prenez le couteau et vous le rangez dans votre sac. Vous poussez un soupire, légèrement soulagé de votre nouvelle arme. Mais vous doutez. Savez-vous vous en servir ? Peut-être que c'est inutile de se battre ? La porte claquant, vous vous retournez. Trop tard, vos poursuivants sont déjà dans la salle. Paniqué, vous regardez autours de vous. Main dans le sac, vous serrez votre lame comme si votre vie en dépendait. Vous apercevez, dans un élan de folie, une fenêtre entrouverte. C'est peut-être votre dernière chance. Ces hommes, enfin ce qui en reste, s'approchent lentement, mais vous ne pouvez pas les voir. Pas encore. C'est votre chance de tenter de fuir. Alors que vous reculez, peur au ventre, votre pied glisse et vous tombez. Vous relevant, vous apercevez une plaque que vous pourriez facilement enlever pour vous enfuir. Mais qui sait où elle mène et si vous aurez le temps de l'enlever. Vous gloussez. Leur plaintes s'accentuent. Votre coeur bat si fort que vous avez du mal à respirer. Vos jambes tremblent. Mais qu'allez vous donc faire ?"
Trois choix s'offre à vous maintenant :

Vous sortez votre couteau, prêt à vous battre.
Vous montez sur le plan de travail et essayez de vous enfuir par la fenêtre
Vous soulevez la plaque et tentez de fuir par ce conduit.

"Dans un coup de folie, vous décidez de vous enfuir par la fenêtre; Était-ce vraiment une bonne idée ? Montant sur le plan de travail, vous ouvrez le bâtant dans sa totalité et passez voter jambes par dessus. Vous vous croyez soulagé. Vous vous dites que vous êtes libre, mais vous hurlez. La douleur est sans précédent et vous ne pouvez pas retenir votre cri. Un coup au-dessus de votre épaule vous permet de voir qu'un de vos poursuivant à profité de votre état et de votre inattention pour vous sauter dessus comme un lion et vous mordre la cheville. L'assaillant est tellement répugnant que vous ne préférez pas continuer à regarder. Sa poigne est forte et difficile, mais vous arrivez à vous défaire de son étreinte. La vision d'horreur que vous venez de voir n'était que le début, et vous le saviez. Vous passez par le fenêtre qui, heureusement, n'avait qu'un mètre entre vous et la cour. Retombant sur vos pied, votre blessure vous fait mal. Vous tenez votre pied avec insistance, essayant d'arrêter le sang de couler. Mais non, regardant le ciel, vous voyez voter ennemis, celui qui vous a mordu, tenter de passer par la fenêtre. Les dents en sang, il vous dévisage comme affamé. Vous savez qu'il ne faut pas rester ici, alors vous vous levez avec difficulté et commencé à boiter le plus vite possible pour vous enfuir enfin. Mais ne crier pas victoire. Vous sentez sa main se resserrer sur votre bras et vous êtes incapable de faire quoique ce soit. Vous avez beau mettre toute votre force pour lui en réchapper, vous ne pouvez pas. Il vous tire vers lui, vous montrant ses dents incrustées de chair et tachées de sang. Son visage rouge de son dîner, ses doigts rentrent dans votre bras comme des aiguille. Vous mordez vos lèvres, retenant un second hurlement. Vous vous débattez comme un fou, prenant la peine de lui donner des coups. Puis vous laissez tomber cotre sac. Alors qu'il se colle à vous, vous prenez une initiative. Sans crier gare, vous attraper la lame. mais où viser ? Vous voyez ses compagnons sortir de la cuisine et vous ne pouvez toujours pas fuir. Votre jambe saigne, vous tenez mal sur vos pieds. Comment le faire lâcher ?"

Trois choix s'offrent à vous :
Viser la tête
Viser le bras
Forcer pour fuir.

"Vous prenez votre élan et frappez. Sans aucune hésitation, vous visez la tête, pensant que votre ennemis ne résistera pas. Votre lame entre dans sa chaire, lui transperçant la tête. La lame ressort de l'autre côté du crâne. Vous sentez votre ventre crier famine. Vous avez faim. Vous avez aussi une étrange envie de vomir en voyant le sang couler sur votre main. Prit d'une peur incontrôlable en voyant la horde sortir de la cuisine, vous décidez d'abandonner votre couteau. Vous sentez la poigne de votre ennemis se desserrer lentement,. Vous vous défaite de lui, poussant le corps sur deux autres de son espèce qui commençaient à s'approcher un peu trop prêt de vous. Vous faites volte-face et partez en boitant. Vous allez aussi vite que vous pouvez, mais vous êtes prit par de violents mots de têtes. Une envie de vomir et un épuisement constant se rajoute à votre souffrance. Vous arrivez devant un mur et, avec difficulté, vous passez par-dessus. Retombant de l'autre côté, vous regardez avec étonnement l'endroit dans lequel vous avez atterrit. Vous êtes soulagé, légèrement. Prenant de grande inspiration, vous constatez que vous n'êtes toujours pas sortit de l’académie. C'est un peu décevant puisque vous êtes encore une victime potentiel de ces fous, mais vous savez parfaitement où vous vous trouvez. Juste devant vous se trouve la salle d’accueil. Et c'est là que vous vous dites que c'est ici que vous pourrez trouver à manger. Marchant à pas de loups, vous vous dirigez vers ce bâtiment; Puis, poussant la porte, vous voyez un magnifique buffet. Il y a, certes, deux personnes mortes sur la table, mais il y a beaucoup de nourriture. Vous hésitez à prendre à manger. Peut-être n'est-ce plus comestible depuis bien longtemps. Vous n'avez malheureusement pas le temps de vous plonger totalement sur la question qu'un bruit attire votre attention. Passant à côté de la table en essayant de ne pas baver devant autant de nourriture, vous arrivez devant un couloir. Droit devant vous de trouve deux portes. Une ne bouge pas alors que sa voisine est frappée. Vous la voyer se tordre légèrement à chaque coups. vous décidez d'aller voir d'un peu plus prêt. Une fois devant les deux portes, vous hésitez. Laquelle allez-vous ouvrir ? Ou préférez-vous retourner sur vos pas pour manger ?"

Vous pouvez choisir entre trois solutions :
Ouvrir la porte de droite (celle qui tremble)
Ouvrir la porte de gauche.
Reculer vers le buffet.

"La porte ne vous inspire pas confiance. Elle tremble et vous n'osez pas poser la main dessus. Vous ne voulez pas non plus faire demi-tour. Alors, tournant la poignée, vous ouvrez celle de gauche. C'est un placard comme vous pouvez le constater. Mais quelque chose vous intrigue, par terre. Quelqu'un de petite taille se cache sous la couverture. Vous hésitez mais au final, bras tremblant, vous attrapez la serviette. D'un coup vous l'enlevez, découvrant avec surpris ce qu'il y avait dedans. Main sur les yeux pleurant, une petite fille, n'ayant pas plus de 10 ans. Ses cheveux blonds et sa petite robe rose sont tachés de sang. Vous ne savez pas si vous devez être heureux d'avoir trouvé un autre survivant, apeuré par les hordes affamée qui vous pourchassaient à l'instant ou inquiet pour cette gamine. Vous vous baissez à son niveau et lui expliquez ce que vous venez faire ici, mais surtout que vous ne lui voulez pas de mal. Puis, sans rien dire, elle vous saute dans les bras. Vous vous relevez et décidez de sortir du placard. Il n'y avait rien. La petite fille se tient à votre bras, regardant avec inquiétude les alentours. Vous ne savez pas comment elle est arrivé ici, mais vous vous persuadez que ce n'est pas le moment de parler ça. Vous regardez la porte qui vibre encore et vous ne savez pas ce qu'il faut faire. La petite fille vous lâche et s'avance pour l'ouvrir. Vous ne savez pas quoi faire."

Deux choix s'offrent à vous :
Arrêter la petite fille
la laisser ouvrir la porte.

"Vous la rattrapez par la manche en lui disant qu'il ne valait mieux ne pas ouvrir cette porte. Elle hoche la tête et, bondissante, elle se dirige vers le buffet. Vous regardez la porte d'nu peu plus prêt avant de vous retourner. Mais vous ne faites pas trois pas que votre mal de tête empire. Vous boitez toujours, retournant sur la table. vous posez vos fesses sur une chaise. Votre tête tourne. Qu'est-ce qu'il peut bien se passer ? Qu'est-ce qui vous a fait ça ? Serait-ce vos blessures ? Qu'est-ce que ces hommes vous ont fait. La jeune fillette qui vous suivait se ramène vers vous, un morceau de pain dans les mains et vous secoue. Peu importe, vous ne sentez pas la secousse. Vous avez envie de vomir, de tomber dans le coma. Vous voulez revenir à l'ancien temps, ou les personnes ne cherchaient pas à vous manger coûte que coûte. Vous vous sentez faible. Marchant lentement jusqu'à dehors, vous remarquez que personne n'y est. Vous en profitez pour prendre un peu l'air. Mais vous jambes tremblent beaucoup trop et vous vous effondrez. sur le sol. Vous avez beau entendre la fillette hurler, vous ne pouvez pas vous empêcher de vous laisser tomber ventre au sol. Votre cheville et votre bras saignent de plus en plus. Mais, alors que vous êtes encore conscient, vous voyez ces monstres se diriger vers vous en pas lent. La jeune fille panique, vous secouant comme un sac à patates. Ce n'était pas le moment de dormir, vous le savez. Votre faim vous a affaiblie et vos blessures font effet de mort sur vous. Fermant lentement les yeux, vous laissez la mort vous étreindre. Un bruit vous transperce les tympans alors que vous vous croyez mort. Ce que vous entendez, c'est le cri de la jeune fille que vous avez trouvé. Peut-être est-ce de votre faute si tous ça est arrivé , Si vous n'aviez pas ouvert la porte de gauche ? Ou si vous auriez ouvert la porte de droite ? Qu'est-ce qui se serait passé ? Vous regrettez toutes vos actions ? Mais pourtant, ce n'est pas encore terminé. Vous croyez que la mort vous a prit, mais sans vous en rendre compte, vous sentez quelque chose dans votre bouche. Du pain. Vous l'avalez. Vous yeux à demi ouvert, vous voyez qu'ils sont encore loin. Vous vous relevez avec la plus grande difficulté du monde. Que faire maintenant ? Vous entrez dans le bâtiment avec ma fillette et vous laissez tomber sur le sol. Vous entendez un vacarme assourdissant. Vous savez qu'elle cherche quelque chose pour vous aider; Et quand elle revient, vous pouvez voir avec stupéfaction une boite avec un plus rouge sur fond vert dessus. Une trousse de secours. Elle l'ouvre difficilement et vous voyez une piqûre avec un liquide rouge dedans. Vous jetez un regard sur la porte. Ils arrivent. "

Choisissez entre deux solutions :
Vous prenez la piqûre
Vous attendez de voir ce qui se passe.

"Vous vous dites que rien ne pourrait être plus pire alors vous prenez la piqûre et sans hésiter, vous la planter dans voter bras. L'effet prend du temps à venir et les hordes de vos poursuivants arrivent à ouvrir la porte. Celle de derrière que vous avez hésité à ouvrir s'ouvra d'un seul coup et une horde de monstre comme ceux qui vous poursuivait y sorte. Vous êtes prit en sandwich et vous avez beau penser à ce que vous voulez, vous savez qu'il n'y a plus aucune échappatoire. Vous ne pouvez pas vous concentrer parce que les cris de la gamine vous percent les tympans. Dans un coup de chance, vous apercevez un conduit d'aération. Mais vous êtes rapidement déçu. Vous n'êtes pas assez grands pour passer à travers. Vous poussez un soupire et prenez la petite fille sur vos épaules. De toute façon, vous saviez que ça arriverait non ? Vous la faites passer dedans. Elle à beau vous dire qu'elle veut rester avec vous, pleurer et vous griffer les bras, vous ne voulez pas la voir souffrir comme vous allez le faire. Vous refermez le conduit et regarder la horde qui afflue sur vous. Votre vie passe devant vos yeux. Les pleures de la petite fille retentissent dans le conduit et vous laissez une larme couler sur votre joue. Serrant les poings, vous vous jetez dans la foule avec l'intention de vous battre à mort. Pourquoi les effets de l'antidote ne sont pas arrivé plus vite ? Vous saviez pourtant ce qui vous attendait. La petite fille à beau dire crier à la mort des non qui vous fend le coeur, vous ne pouvez sortir de la horde qui vous mord de toute part. Vous hurlez comme un fou. Vous frappez dans le vide et, sans vous en rendre compte, vos muscles ne veulent plus bouger. Vos yeux se ferment lentement. Vous auriez cru survivre ? Vous auriez cru moins souffrir lors de votre mort ? Votre chair et découpé par les crocs des bêtes affamées. Votre sang se repend sur le sol. Vous tombez au sol, sans vie. Une mort aussi vaine aurait-elle pu être éviter ? Mais alors que la foule se sépare pour sortir du bâtiment, vous vous relevez. Votre bras n'est plus là et une étrange faim vous anime. Des yeux vide, du sang sur le visage, vous êtes maintenant un des leur..."